« Synchronicité bis repetita »

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16/06/2023 Bonjour à toutes et à tous,

Synchronicité bis repetita Crédit photo izart.fr
Synchronicité bis repetita Crédit photo izart.fr

Synchronicité bis repetita, y’avait de ça dans l’air ce jour-là, et c’est tant mieux après les rebondissements des précédentes journées.

D’abord, j’ai invité une amie à venir faire un tour en cuisine, côté boulot, et elle a paru enchantée, même après avoir trié, pelé et débité des mangues très mûres durant toute la matinée.

Ensuite, nous avons fait le tour des bâtiments, des dépendances et du jardin, admiré les ananas, les piments et les papayers bien en feuilles.

Y’a franchement du boulot à la pelle pour qui veut s’y atteler, à Auroville, no comment.

Je prêche en convaincue, m’étant à nouveau plongée avec bonheur dans les audio-livres consacrés à Satprem depuis que leurs enregistrements ont repris.

Ben oui, hein, le yoga dans le travail, le yoga par le travail, la transformation par la matière, c’est pas du pipeau, ça sort de la bouche de Sri Aurobindo et de Mère.

Ce matin-là, toute à ma connexion particulière avec le jardin, en arrosant, j’ai soudain trouvé que la chienne n’en finissait plus d’aboyer.

Alors je me suis approchée du portail et j’ai vu sortir de derrière le cabanon… mon ami qui s’était également déplacé, alerté lui aussi par les japements de la chienne.

Effectivement, quelqu’un était bien venu… mais nous n’en saurons pas plus cette fois-ci.

Tout ce que je sais, c’est que deux jours auparavant, j’avais trouvé la porte arrière du jardin entrouverte et le lien qui l’entravait, détaché.

Comme je connais le jardin sur le bout des ongles, j’ai donc pu constater qu’il manquait deux papayes à l’inventaire, les plus mûres, bien évidemment.

Mais le plus intrigant fut ce bel oiseau noir, à la longue queue noire également, encore lui, qui vint se percher à quelques mètres au-dessus de nos têtes, alors que nous devisions…

Bien à vous,

Isabelle

oiseau dans le jardin Alok