« Une bouffée d’art ! »

26/10/2013 Bonjour à toutes et à tous,

Satomi Masumura et Tristan Bitsch

Satomi Masumura et Tristan Bitsch

Si hier je baignais dans le théâtre, lundi c’était dans la musique, et là aussi, j’ai pris beaucoup de plaisir à assister à un spectacle de qualité.

Ayant cheminé quelques jours auparavant jusqu’à l’Université Jean Moulin Lyon 3 pour assister à une conférence autour de Verdi et la gastronomie, j’ai pu glaner quelques autres spectacles, en liaison avec ce thème, qui étaient à l’affiche dans ce lieu.

C’est ainsi qu’était donné un concert en association avec le programme verdien, par l’Orchestre de Lyon 3, soit une quarantaine de musiciens dirigés depuis près de dix ans par Thierry Vaysse, chef d’orchestre et clarinette solo aux orchestres de la Garde Républicaine.

La première partie, intitulée Musique de chambre, était assurée par des musiciens de Lyon 3, avec une pièce verdienne interprétée par Tristan Bitsch à la flûte et Satomi Masumura au piano, tous deux excellents dans « Fantaisie sur Traviata » de E. Krakamp.

Le programme était fort bien choisi et justement interprété, les solistes se firent suite sur scène avec Thierry Vaysse à la clarinette, Clémence Cartade et Nicolas Gabaron à la flûte et Dominic Faricier au piano.

Programme

Programme

Puis la seconde partie permit d’apprécier tout le travail de l’Orchestre de Lyon 3, auquel se rajoutèrent Gabriel Labonde, soliste au petit tuba, Clémence Cartade et Nicolas Gabaron solistes à la flûte.

Orchestre de Lyon 3

Orchestre de Lyon 3

Un moment fort agréablement passé qui nous permit de prolonger la soirée au Ninkasi voisin, où – oh ! surprise – nous vîmes débarquer tout l’orchestre peu de temps après !

La bière du Ninkasi, cuvée d’automne à la châtaigne, dégustée entre contrebasses et violons, fit l’unanimité parmi mes amis bulgares.

Il faut dire que peu de temps avant le concert, nous avions dû rejoindre l’Université au pas de course, un incident s’étant produit dans le métro, celui-ci avait été immobilisé pendant plusieurs dizaines de minutes…

Mais quel réconfort ensuite, dès la première note !

Bien à vous,

Isabelle