« Vaccins à tour de bras »

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01/10/2021 Bonjour à toutes et à tous,

Vaccins à tour de bras dans mon entourage proche, et réactions des plus désagréables qui m’insupportent.

Oui, des vaccins obligés pour continuer d’exercer leur métier pour certains et leurs loisirs sportifs pour d’autres, ça énerve.

Même si je ne discute pas et que je respecte leurs choix.

Dire que je leur ai évité ça quand ils étaient encore enfants, les vaccins inutiles ou de confort si vous préférez…

Bon, espérons que ma réserve à ce sujet leur aura permis d’acquérir leurs propres mécanismes de défenses naturelles.

Il n’empêche que je n’ai de cesse de maudire ce gouvernement qui contraint par la force la population française à se plier à son diktat.

Et je remercie une fois de plus toutes les électrices et électeurs qui ont permis à ces sombres individus d’accéder au pouvoir.

S’il en est qui auraient vraiment du s’abstenir d’aller voter… suivez mon regard.

Fièvre et courbatures au point d’abandonner le travail pour aller se coucher, oui, ça a vraiment de quoi me mettre en colère.

J’espère pour le gouvernement que les manifestations se limiteront à ceci dans leurs formes les plus bénignes.

Et qu’on n’aura pas, dans les années à venir, les 3/4 de la population française atteinte de maladies chroniques suite à cette vaccination massive.

Bon, ici, on a d’autres chats à fouetter, des cobras, par exemple.

Le retour des cobras dans les endroits secs des habitations s’annonce avec la mousson…

Ça ne m’est encore jamais arrivé de tomber nez à nez avec l’un d’entre eux, mes collègues, si.

Renseignements pris avec des spécialistes locaux, la première règle est de ne jamais pacifier avec cet animal extrêmement dangereux.

Ne surtout jamais tolérer sa présence chez vous, et donc, sans le provoquer, le déloger.

Pour cela, et en vous tenant bien à distance, vous allez petit à petit bien inonder la zone sèche où il a cru pouvoir se réfugier sans encombre.

Ensuite, il faut produire de la fumée autour des lieux, c’est la deuxième chose qu’il déteste après les endroits humides.

Il jugera que l’endroit n’est pas si confortable et partira ailleurs de lui-même, bonne chance !

De mon côté, ce ne sont que des souris qui arrivent à se glisser dans le jour entre la porte et le sol de ma chambre.

Il me semble, par moments, voir passer un truc auquel je ne prête guère attention sur le moment.

Par contre, quand je distingue nettement l’animal gris et dodu repasser dans l’autre sens, je n’ai plus de doute, ce ne sont pas des hallucinations !

Bien à vous,

Isabelle