« Être ni envahissante ni culpabilisante »

01/10/2020 Bonjour à toutes et à tous,

Être ni envahissante ni culpabilisante, c’est mon credo.

Pas même indispensable !

Que mes kids se rassurent et gèrent leur vie comme bon leur semble avec leur propre famille.

Ou sans.

J’approuverai toujours leurs choix et les encouragerai dans leurs démarches.

Comme je l’ai fait depuis leur naissance.

C’est sans doute pour cela qu’ils ont confiance en eux.

Et gèrent tout ce qui leur arrive avec sérénité, sans automatiquement considérer autrui comme source de sa propre difficulté.

On inspire de la confiance et on l’accorde la sienne aux autres quand on en est soi-même doté·e.

Car comment partager en étant déjà premièrement emprunt de préjugés, voire pire, de supériorité face à autrui ?

Quand je vois autour de moi des adultes se comporter avec despotisme, je me dis que ces anciens enfants ont manqué de bienveillance.

Puisque ils ne savent pas reproduire, c’est à dire se comporter de façon bienveillante envers autrui.

Meilleure Vente n° 1

Mais soyons bien d’accord, le manque de bienveillance envers des enfants c’est tout aussi bien les laisser livrés à eux-mêmes, les élever sans limites, sans règles précises.

Ah le vieux refrain de l’enfant roi… voilà le produit quelques décennies plus tard.

Moi, moi, moi.

Tout m’est du, mon opinion est la meilleure, ainsi que ma façon de penser !

Essayez de leur mettre des limites ou de les contrarier ces vieux enfants élevés en toute-puissance…

Ça tourne immédiatement à la colère, enfin je veux dire au caca nerveux.

Vous retrouvez le même petit enfant 50 ans avant, celui qui répondait à la violence par la violence.

L’insécurité est source de grande violence et le manque de repères de la même facon.

Quant au manque de considération, de marques d’estime, d’amour… il est flagrant chez ces enfants en détresse devenus des adultes ingérables.

Etre adulte c’est régler les conflits de son enfance, dit-on, bon courage !

Bien à vous,

Isabelle