« Hou hou, toupie »

17/11/2016 Bonjour à toutes et à tous,

Hou hou, toupie - Crédit photo izart.fr

Hou hou, toupie – Crédit photo izart.fr

« Hou hou, toupie ! »

Y’en a qu’une pour m’appeler comme ça !

J’entends sa voix forte qui résonne depuis la fenêtre du deuxième étage 🙂

Un grand coucou, je lui envoie des baisers et cours attraper mon bus.

Ni une ni deux, me voilà posée sur la banquette, tandis que ce dernier repart.

Ben oui, depuis que les parking aux stations de métros sont saturés, j’ai un nouveau plan de stationnement.

Maintenant, je me gare sur le parking privé de la résidence d’une amie, à proximité de l’arrêt d’un TCL, Transport en Commun Lyonnais.

Et oui, c’est pratique d’avoir des ami-e-s de partout qui partagent leurs bons plans 😉

Comme ça, je pose ma voiture tranquillement, sans tourner pour chercher une place de libre.

Et quand tout est bien synchronisé, entre le moment où je quitte la maison et celui où j’arrive à la station de métro, je ne mets pas plus de temps qu’auparavant.

J’en gagne même, si l’on considère les fois où j’ai tourné pour cause de parking saturé…

Alors effectivement, cela m’oblige à plus de souplesse horaire que si je prenais ma voiture pour me rendre directement d’un point A à un point B.

Mais primo, je ne paierai jamais un parking pour une voiture.

Secundo, je trouve une place tout de suite, sans tourner des plombes.

Tertio, mon corps me dit merci.

Ben oui, parce que le temps passé au volant, c’est de la fatigue en plus.

Concentration, stress, énervement, maîtrise, anticipation…

Et de la pollution en moins, parce qu’à Lyon, ça y est, on a rebasculé en alerte particules fines.

Merci les mots de tête en rentrant…

J’ai une connaissance qui était à Lyon pour la Fête des lumières.

Entre pic de pollution et incident de Feyzin, je vous dis pas dans quel état elle est rentrée, nez, yeux, gorge, la totale 🙁

De toute façon, on n’a encore rien trouvé pour faire barrage aux particules fines, aucun masque ne peut les filtrer parce qu’elles sont très fines, justement.

Il en va de tout comme ça, en France.

Tant qu’on continuera à vouloir soigner les conséquences d’un mal, plutôt que de se concentrer pour éviter son apparition.

Il faudra encore quelques générations avant le changement de mentalité

Bien à vous,

Isabelle