« La mousson 2023 est là »

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15/11/2023 Bonjour à toutes et à tous,

La mousson 2023 est là - Crédit photo izart.fr
La mousson 2023 est là – Crédit photo izart.fr

La mousson 2023 est là et c’est tant mieux, tant mieux pour la nature, les animaux, les plantes et les humains.

Enfin presque pour les humains parce que de ce fait les températures ont chuté, vertigineusement même, au point d’avoir froid la nuit.

Si je vous dis qu’avec 23° je dors en pull, chaussettes et couverture tellement que j’ai froid, vous me croyez ?

Pas de ma faute si la maison que j’occupe est une vraie passoire énergétique, mais bon j’ai un toit donc ma critique s’arrêtera là.

Quant à ce dernier qui prend l’eau au moins à cind endroits ; oui on a rallongé la liste depuis la mousson, c’est pas grave, j’ai décalé la table d’en-dessous une fois de plus.

C’est marrant du coup, parce que je n’occupe environ que 9 des 30 m² de la pièce du bas, le reste n’étant pas praticable pour cause de fuite.

Alors quand une envie pressante me prend la nuit, faut que je me faufile entre la table et le lit sans me cogner dans la table de chevet, exercice périlleux à exécuter au radar dans le noir

Ben oui, normal, j’ai tout regroupé dans la partie au sec, c’est plus confortable pour manger et travailler sans craindre qu’une grosse goutte d’eau vienne s’écraser dans ton cou.

A part ça tout va bien au jardin qui se remet tout doucement des dernières vagues de chaleur intense et ne se plaint pas de la température et de l’humidité ambiantes.

J’ai commencé à désherber pour faire du mulch, le tout déposé sur feuilles de bananier, le must de la permaculture.

Mes petits arbres fruitiers commencent à avoir de la gueule et de la stature, j’ai comme l’impression qu’on m’a même barboté un joli pied de chikou, je vais approfondir la chose.

C’est vrai que lorsque je passais les premières heures de la matinée auprès du neem tree, c’était au détriment de mon jardin.

Il m’a donc fallu effectuer un choix que je ne regrette pas, mon âme en est moins tourmentée et mon énergie mieux canalisée.

De toutes façons je ne mets plus du tout les pieds ni au Matrimandir ni dans les espaces alentours, cette vision apocalyptique m’insupporte au plus haut point, c’est dit.

Bien à vous,

Isabelle