« Ne pas aimer nos amies les bêtes dans son assiette »

18/08/2017 Bonjour à toutes et à tous,

Ne pas aimer nos amies les bêtes dans son assiette - Crédit photo izart.fr

Ne pas aimer nos amies les bêtes dans son assiette – Crédit photo izart.fr

Ne pas aimer nos amies les bêtes dans son assiette, ça peut se comprendre.

Mais ce n’est pas une raison pour les mettre à toutes les sauces

Avec une dizaine de chiens qui ont transité par le Camp Climat 2017, moi qui ne suis pas une habituée de leur compagnie, j’ai eu l’occasion de le faire !

Pour en arriver à la conclusion que, finalement, je préfère les gosses des autres… aux chiens des autres 🙁

Et deux jours après la fin de nos formations, j’en suis encore à me demander ce qu’ils ont pu en retirer, les chiens…

Oui, puisque pour la plupart d’entre eux, ils ont accompagné leur maîtresse ou leur maître dans toutes les salles où étaient dispensés les enseignements.

Dans le meilleur des cas, ils se seront faits oublier dans un coin en ronflant, de préférence pas trop fort.

Et dans le pire, ils passeront la journée au bout de leur laisse, elle-même au bout de la main de leur propriétaire.

De préférence en mode avachi sur les pieds de celle ou celui-ci, et parfois bien au-delà, c’est à dire sur ceux des voisines et des voisins 🙁

Pas facile de se lever pour un exercice pratique dans ces conditions…

Surtout qu’après maintes explications, la bête ne comprend toujours pas les propos de l’humain qui multiplie les explications sans être vraiment crédible…

Anthropomorphisme quand tu nous tiens !

Mais vu bien pire encore, quand la bête s’ébroue de tous ses poils, longs de préférence, sous la table qui réceptionne les assiettes prêtes à servir 🙁

Certains chiens ont aussi la fâcheuse habitude d’aller balader leurs babines au-dessus de l’éco-cup posée à même le sol, devant des participant-e-s assis-e-s en tailleur…

La seule occupation qu’on aurait pu leur trouver aurait été d’aller grossir les rangs des policiers lors de la simulaction 🙂

Peut-être faudra t-il penser, pour l’édition 2018, à leur consacrer un espace dédié comme pour les enfants, et auto-géré par leurs propriétaires, bien évidemment !

Bien à vous,

Isabelle